Les spirits
Il y avait une fois un jeune enfant très intéressé en les spirits. Il s’amusait écoutant histoires sur eux et espérait un jour voir quelque chose intéressant. Il le disait tant qu’espérait jusque l’aube en l’obscurité plusieurs heures mais la déception, il ne voyait rien.
Un jour il allait voir ses familiers dehors le village avec ses parent. Il était heureux parce que ce là il avait un cousin qui partageais sa même goût sur le paranormal. Le noir arrivait, ils voyaient la télé lorsqu’un programme sur l’spiritisme commençait. Ce programme les donnait l’idée d’invoquer spirits. Ils répétaient chaque mot avec enthousiasme. Le programme finissait au midi noir et l’heure de se coucher arrivé. Autre fois déception, pas des spirits.
Les temps passaient et notre jeune enfant grandissait. Même il ne pouvait rien voir il n’oubliait pas ce noir. Ils luttaient pour le chasser et essayaient raconter à ses parents ce qu’ils eurent fait. Bien sûr ils ne le croyaient pas. Il se demandait à lui-même «pourquoi ils ne nous croyons pas».
Après des années Il retournait voir ses familiers. Conversant avec eux ils le disaient combien son cousin les manque et combien tristes de que il ne pouvait grandir avec lui.
L'heure grise
Ce soir Amélie a retourné tôt chez elle. Généralement, elle arrive à la tombée de la nuit. Aujourd’hui elle se a senti fatigué et a décidé ne pas aller à son dernière cours. Le paysage est bizarre pour elle, il y a longtemps que elle ne sent pas ce sensation, c’est le moment de l’heure grise.
Elle marche lentement sur la rue. Elle est sur le point d’arriver et on se peut regarder sa maison. Ella la voyait mélancolique pensant qu’elle autre fois sera seule quand soudainement quelque chose a attiré son attention. Un petit enfant se penche à la fenêtre. Immédiatement son état d’esprit change pour cette image, état dépressive pour l’heure grise. Elle se dit a elle-même « ma sœur et mon petit neuve restent ce là … » et se dépêche arriver à la maison. Elle entre les criant « j’ai arrivé … pourquoi vous n’avez pas parti … ». Curieusement personne le réponde seulement on se écoute les petite pas d’un enfant qui montre les escaliers. Elle crie autre fois disant « je t’ai écouté … tu ne t’échappe pas … où est-ce que ton mère est ? … voilà je t’ai vu ». Effectivement, elle a vu des petites chasseurs « arrête, arrête …» elle le crie. Elle montre les escaliers et note quelque chose étrange. L’enfant ne s’assemble pas à son neveu, elle pouvait le percevoir lorsqu’il entrait à sa chambre. Soigneusement elle entre à la chambre et l’allume. Elle reste debout et le silence la laisse abasourdie, il n’y a personne cela.
